Les machines ont 2 vies: Neuves, rutillantes, éblouissantes de chromes et de peinture fraîche, puis,épuisée par les cadences infernales, tavelées de rouille, la peinture écaillée. J'aime tout, leur architecture dédiée au travail, toute en économie, la forme résultant de la fonction. Je les trouve sublimes jeunes et attendrissantes une fois au rebut.